le journal des conseillers de la santé publique
Quelles sont les dernières avancées scientifiques dans le dépistage de l’Atelectasie post opératoire?
Les principales avancées scientifiques récentes dans le dépistage de l'atélectasie post-opératoire :
1. Amélioration des techniques d'imagerie médicale
Les techniques d'imagerie, telles que la radiographie thoracique et la tomodensitométrie (TDM), ont connu des améliorations significatives. Elles permettent une détection plus précoce et plus précise des atélectasies, notamment dans les zones anatomiques complexes (Duggan et al., 2020).
2. Utilisation de l'échographie pulmonaire
L'échographie pulmonaire est de plus en plus utilisée comme outil de dépistage et de surveillance des atélectasies post-opératoires. Cette technique non irradiante, réalisable au lit du patient, permet une évaluation rapide et répétée (Milesi et al., 2016).
3. Développement de nouveaux biomarqueurs
De nouveaux biomarqueurs sanguins, comme le peptide natriurétique de type B (BNP) et les cytokines inflammatoires, sont étudiés pour leur capacité à prédire et à dépister les atélectasies post-opératoires (Duggan et al., 2020).
4. Utilisation de scores de prédiction clinique
Des scores de prédiction clinique, prenant en compte les facteurs de risque individuels du patient, sont de plus en plus utilisés pour évaluer la probabilité d'atélectasie post-opératoire. Leur intégration dans les algorithmes décisionnels permet d'optimiser la stratégie de dépistage (Canet et al., 2010).
5. Surveillance continue de la fonction respiratoire
Le développement de dispositifs de surveillance continue de la fonction respiratoire, comme les capteurs de débit et de pression, permet un dépistage précoce des anomalies ventilatoires pouvant conduire à l'atélectasie (Duggan et al., 2020).
6. Utilisation de l'intelligence artificielle
Certaines études explorent l'utilisation de l'intelligence artificielle et de l'apprentissage automatique pour améliorer l'interprétation des examens d'imagerie et optimiser les algorithmes décisionnels de dépistage des atélectasies post-opératoires (Weng et al., 2019).
Ces avancées permettent une amélioration de la performance et de la fiabilité du dépistage des atélectasies post-opératoires, contribuant ainsi à une prise en charge plus précoce et plus adaptée des patients.
ANTIDOTE de l’Héparine : Protamine
Protamine (la dose de protamine à administrer doit être calculée en fonction de la quantité restante d’anticoagulant que l’on désire neutraliser: consulter l'hématologue et le pharmacien. Le Guide canadien des antidotes fournit les renseignements nécessaires pour le calcul de la dose et l’administration de la protamine. La protamine est accessible au cabinet des soins intensifs pédiatriques et de l’urgence, en tout temps).
La santé et la famille
Notre époque est marquée par une transformation rapide et irréversible de la société. Le bouleversement des structures familiales, le vieillissement de la population et le nombre croissant de femmes qui travaillent l'extérieur du foyer font ressortir certains problèmes de santé et créent des pressions pour de nouvelles formes de soutien social. Ces changements nous forcent également chercher de nouvelles approches capables de nous aider traiter efficacement les questions de santé dans l'avenir.
Nous proposons une façon d'aider la population faire face aux défis nouveaux en matière de santé et la famille. Nous parlons de promotion de la santé et la famille. Une approche indissociable que ces tenues désignent constitue une synthése d'idées puisées dans plusieurs domaines santé publique éducation en matière de santé et politiques publiques et l'idée de promotion de la santé et la famille est ainsi utilisée dans un sens élargi qui veut traduire une évolution. Nous considérons la promotion de la santé et la famille comme une démarche qui vient compléter et renforcer l'infrastructure sanitaire actuelle.
Les défis que nous devons relever ne sont pas nouveaux. Ils ont déjà été repérés séparément en diverses occasions. En les examinant toutefois dans leur ensemble, nous discernons certaines tendances qui nous poussent nous engager dans cette approche que nous appelons la santé et la famille.
Au Canada, dans plusieurs régions, des individus ou des groupes sont déjà au courant du mode d'approche que nous appelons la santé et la famille.
Les fondements proposés par nos experts sont en reconstruction. Poursuivons ensemble les efforts voulus pour atteindre la santé et améliorer la qualité de vie des Canadiens et des collectivités dans lesquelles ils résident.
Pédiatrie : Est-ce qu'un stridor est dangereux ?
La laryngomalacie, ou larynx mou, est la cause congénitale la plus fréquente de respiration bruyante, ou stridor, associée à des difficultés d'alimentation chez les nouveau-nés. Les tissus supraglottiques, situés au-dessus des cordes vocales, sont trop souples.
Est-ce qu'un stridor est dangereux ?
Le stridor inspiratoire est souvent une urgence médicale. Les médecins doivent rapidement évaluer le niveau de détresse respiratoire du patient afin de mettre en place une prise en charge le plus vite possible.
Tout bruit à l'inspiration nécessite de consulter son médecin traitant ou son pédiatre. En fonction du diagnostic et de l'étiologie du stridor, celui-ci pourra vous orienter vers un ORL.
Combien de temps dure le stridor ?
Le croup commence souvent sans prévenir, au milieu de la nuit. Les symptômes sont souvent pires la nuit et atteignent leur paroxysme la deuxième ou la troisième nuit de la maladie. Les signes et symptômes du croup peuvent durer de trois à quatre jours ; cependant, une toux peut persister jusqu'à trois semaines. Le stridor ne doit pas persister.
Comment soigner une laryngomalacie ?
La prise en charge de la laryngomalacie. Un traitement chirurgical est le plus souvent nécessaire, avec un taux de succès important et un faible risque de récidives ou de complications.
Comment savoir si un enfant est maltraité ?
La maltraitance chez l’enfant touche toutes les classes sociales et des enfants de tous âges, y compris des nourrissons. Il existe des signes physiques ou comportementaux évocateurs mais il faut y penser en consultation, même devant des signes non spécifiques.
Protéger et prévenir la maltraitance d’un enfant fait partie des missions de ce la santé publique. Une consultation médicale est souvent l’occasion d’identifier une situation à risque ou des signes évocateurs de maltraitance.
L’essentiel
- Protéger l’enfant est un acte médical et une obligation légale.
- Les maltraitances peuvent également être repérées en dehors de signes physiques.
Des symptômes et signes physiques évocateurs d'une maltraitance : Une maltraitance est à évoquer :
Chez le nourrisson : en cas de pleurs rapportés comme inconsolables par les parents qui se disent nerveusement épuisés ;en cas de fractures en dehors d’un accident ou d’une chute de grande hauteur.À tout âge devant : des faits de maltraitance d’un enfant ou d’un adolescent, révélés par lui-même, par un parent ou par un tiers ;une lésion pour laquelle : il y a une incohérence entre la lésion observée et l'âge, le niveau de développement de l'enfant, le mécanisme invoqué, l’explication qui est donnée change selon le moment ou selon la personne interrogée.un retard de recours aux soins ;des plaintes somatiques récurrentes sans étiologie claire (douleurs abdominales, céphalées) ;des antécédents d’accidents domestiques répétés ; une ou plusieurs tentatives de suicide ; des fugues et conduites à risque ; une chute des résultats scolaires, voire une déscolarisation ; des faits de maltraitance dans la fratrie ; des ecchymoses certaines ecchymoses sont évocatrices d’une maltraitance, soit parce qu’elles sont importantes (multiples et d’âge différent ; de grande taille), soit parce qu’elles se distinguent des ecchymoses accidentelles (chez un enfant qui ne se déplace pas tout seul ; sur des parties concaves du corps ou des zones habituellement non exposées ; en forme d’objet ou de main). Les contusions (ecchymoses et hématomes) sont suspectes en l’absence de traumatisme retrouvé, quelle que soit leur localisation ; des brûlures : certaines sont suspectes (à bord net pouvant résulter d’une immersion ; en forme de cigarette, d’appareil ménager ; abrasions dues à une contention par liens…) ;des fractures multiples d’âge différent ;des morsures ;une lésion d'organe plein (foie et pancréas notamment) ou de viscère creux dont les circonstances de survenue ne sont pas claires, ou avec un mécanisme de survenue allégué incompatible avec la gravité de la lésion. Nausées, vomissements, abdomen chirurgical (douleur abdominale sévère), signes d’hémorragie interne (notamment pâleur),...
Repérer les maltraitances en dehors des signes physiquesEn dehors des signes physiques, que doit-on chercher ?
Des signes de négligences lourdes (portant sur l’alimentation, le rythme du sommeil, l’hygiène, etc.) peuvent être à l’origine de dommages physiques, voire entrainer le décès de l’enfant.
La maltraitance psychologique est également à rechercher. Chez le nourrisson, elle peut se traduire par des troubles des interactions précoces, des troubles du comportement liés à un défaut de l’attachement. Quel que soit l’âge de l’enfant : des humiliations répétées, des exigences excessives, une emprise, des injonctions paradoxales, etc. peuvent constituer un danger à prendre en charge. Enfin, le comportement de l’enfant et/ou celui de l’entourage peuvent alerter.
Quels sont les signes comportementaux évocateurs d’une maltraitance ?
Chez l’enfant, cela peut se traduire par une modification du comportement habituel, enfant craintif, replié sur lui-même, évitant le regard, un enfant présentant des troubles du sommeil, des cauchemars, des troubles du comportement alimentaire, un enfant agressif ou, au contraire, en recherche de contact, d’affection sans discernement, un enfant dont le comportement et/ou l’état émotionnel sont imprévisibles, etc.
Le comportement de l’entourage vis-à-vis de l’enfant et vis-à-vis de vous, professionnels de santé, peut aussi devenir un signal d’alarme.
Les signes comportementaux de l’entourage, évocateurs de maltraitance vis-à-vis de l’enfant :
parent ou adulte intrusif s'imposant à la consultation médicale, parlant à la place de l’enfant ;indifférence notoire de l'adulte vis-à-vis de l’enfant (absence de regard, de geste, de parole) ;parent ou adulte ayant une proximité corporelle exagérée ou inadaptée avec l’enfant ;parents ou adultes qui refusent les vaccinations obligatoires ou appliquent des régimes alimentaires source de carences, malgré des avis médicaux répétés…vis-à-vis des professionnels de santé ou des assistants sociaux : minimisation, banalisation ou contestation des symptômes ou des dire de l’enfant ; dénigrement ou accusation de l’enfant ; refus des investigations médicales ainsi que de tout suivi social sans raison valable ; attitude d’hyper recours aux soins ; attitude agressive ou sur la défensive envers les professionnels de santé.
Repérer les maltraitances sexuelles intrafamiliales
Les professionnels de santé et plus particulièrement les médecins, qu’ils exercent en libéral, à l’hôpital, dans les services de santé ou à l’école font partie des acteurs de proximité les plus à même de reconnaître les signes évocateurs d’une maltraitance sexuelle ainsi que les situations à risque.
Syndrome du bébé secoué : le détecter le plus tôt possible
Le syndrome du bébé secoué (SBS) survient la plupart du temps chez un nourrisson de moins de 1 an, souvent de moins de 6 mois. Le taux de récidive du secouement est élevé. Les premiers signes de violence doivent être détectés le plus tôt possible pour éviter des séquelles sévères, voire un décès.
Le secouement du bébé entraîne des symptômes immédiats, mais il peut y avoir un délai entre le secouement et la consultation.L’examen complet du bébé dévêtu comporte la palpation de la fontanelle, la mesure du périmètre crânien qu’il faut reporter sur la courbe en cherchant un changement de couloir, la recherche d’ecchymoses sur tout le corps, y compris sur le cuir chevelu, la face, sur et derrière les oreilles, l’intérieur de la bouche, le cou et les creux axillaires.En cas de diagnostic de syndrome du bébé secoué, l’hospitalisation est une urgence. Il est conseillé de prendre contact avec l’équipe hospitalière avant d’y adresser l’enfant et de s’assurer que le bébé est bien conduit à l’hôpital par ses parents.À l’issue des investigations cliniques et paracliniques, le signalement doit être fait à la justice avec copie à la CRIP (Cellule départementale de recueil d’évaluation et de traitement des informations préoccupantes).
Alchimie de la colère
La colère est une réponse émotionnelle naturelle et la plupart du temps une réponse automatique à l'une ou l'autre forme de douleur comme la douleur émotionnelle ou physique.
Rôle de la chimie derrière la colère
Épinéphrine et la non-épinéphrine sont les principaux produits chimiques qui jouent un rôle essentiel dans la chimie derrière la colère. En l'absence de ces produits chimiques, le corps ne serait pas en mesure de réagir lorsque vous êtes en colère ou dans toute autre émotion impliquant de l'adrénaline.
Épinéphrine :
L'épinéphrine, également connue sous le nom d'adrénaline, est un composé chimique de formule (HO) 2C6H3CH (OH) CH2NHCH3 et est libérée lors de la colère. L'épinéphrine fait partie des produits chimiques libérés par la glande surrénale lorsqu'un individu éprouve de la colère ou toute autre forme de stress.
L'épinéphrine permet à l'amygdale d'envoyer des signaux au lobe antérieur du cerveau, ce qui permet ensuite aux neurotransmetteurs d'accélérer votre rythme cardiaque et d'afficher d'autres signes de colère.
Sans épinéphrine :
La non-épinéphrine, également connue sous le nom de poussée d'adrénaline, est un composé chimique de formule (HO) 2C6H3CH (OH) CH2NH2. C'est le produit chimique qui surveille votre fréquence cardiaque et votre tension artérielle. Une diminution de la quantité de non-épinéphrine est généralement la caractéristique des personnes déprimées.
Ce produit chimique est responsable de votre prise de décisions concernant la gestion de la situation de manière positive ou négative. La non-épinéphrine donne à un individu la force et la motivation nécessaires pour se défendre dans des situations extrêmement graves.
Pour une peau en santé
1. Aliments riches en proline
La proline est un acide aminé synthétisé par l'organisme à partir de l'acide glutamique. La proline entre dans le métabolisme du collagène qui est essentiel pour les articulations, la peau et les tendons. En cas de blessure, une quantité de proline suffisante dans l'organisme va aider à une bonne cicatrisation.
On trouve principalement la proline dans les aliments d'origine animale, tels que le poulet, le porc, l'agneau, le lait et du yaourt
En fait, la proline constitue environ 10 % du total des acides aminés du collagène. Ainsi, les aliments contenant du collagène, comme le bouillon d’os, les ailes de poulet (avec la peau), les couennes de porc et la gélatine sont de riches sources de cet acide aminé. La plupart des viandes, du poisson et des produits laitiers contiennent également de la proline.
2. collagène
Le soufre est un élément important pour la production de collagène : ail, oignons, choux de Bruxelles et œufs. En mettant ces différents aliments à votre menu, vous mettez toutes les chances de votre côté pour que votre organisme en produise une bonne quantité par lui-même
C'est grâce à un apport quotidien que vous pourrez observer les bienfaits du collagène sur votre corps, au niveau de la peau.
Pourquoi prendre du collagène après 50 ans ?
Il aiderait à réduire les douleurs articulaires dans les troubles de l'articulation comme l'arthrite ou l'arthrose [CS2]. L'hydrolysat de collagène, donc sa forme la plus absorbable, jouerait un rôle dans la prévention de l'ostéoporose [CS3].
3. Acide L- ascorbique: vitamine C
Booster d'éclat ultra puissant, la vitamine C est un précieux allié anti-âge. En plus de sa protection antioxydante, elle contribue à ralentir les effets du vieillissement en réduisant rides et ridules tout en atténuant et prévenant l'apparition des tâches dues à l'hyperpigmentation.
4. l’eau
L'eau est essentielle au bon fonctionnement du corps humain. C'est pour cela qu'il est important de boire un grand verre d'eau au réveil !
5. Écoute des programmes comiques et non stressants le matin et fin de journée
Les blagues et les programmes ou bien les personnages qui vous font rire est essentielle au bon fonctionnement du corps humain. C'est pour cela qu'il est important d’écouter au réveil et au coucher !
Le vaccin de rappel contre le Covid-19 peut provoquer de l'urticaire chronique
https://www.rts.ch/info/sciences-tech/medecine/13881562-le-vaccin-de-rappel-contre-le-covid19-peut-provoquer-de-lurticaire-chronique.html